Après la nouvelle défaite sur les retraites en 2023, deux attitudes se présentent. Soit « passer à autre chose », puisque la loi est entrée en vigueur. Soit continuer la lutte sous d’autres formes, avec notamment l’objectif de faire payer au patronat (privé comme public) le maximum possible, de limiter la casse, et de maintenir la question des retraites au centre du débat et des conflits. C’est bien entendu la seconde option qui est la seule raisonnable, pas celle d’accepter la défaite. (…)